Les partiels : le Lundi
dimanche 28 janvier 2007
Suite au flood de commentaires d'une certaine personne éléphantesque, je vous laisse le deuxième jour de mes "aventures", et là les partiels commencent vraiment.
Lundi 22 Janvier.
Ce matin, nous avons débuté les partiels, chacun avec une confiance qui allait de "je vais me pendre, la vie c'est de la merde" à "vive la compta, je vais tout déchirer !" (ça, c'est moi, je vis dans un rêve c'est pour ça...).
Premier adversaire : l'algorythmique. Trois exercices, quelques accrocs sur la compréhension, mais finalement la simplicité annoncé par le prof n'est pas très loin, et le régiment passe cette première épreuve requinqué par la confiance d'une probable réussite.
Second adversaire : la fameuse G.E.F, appellée aussi "compta de merde". A la réception des copies, je tire un peu la gueule : mon plan machiavélique pour pourrir la tronche à ce partiel tombe à l'eau : pas de compte de résultat, pas de bilan... Finalement, il s'agira d'un mano à mano serré. J'attaque la bête par un QCM, maquillée par un nom synonyme de simplicité, mais redoutable. Quelques formules pourront m'aider, mais la victoire reste très indécise. Le deuxième exercice est un bilan fonctionnel, c'est traître parce que ça a le nom d'un bilan, la forme d'un bilan, le goût d'un bilan, mais c'est pas un bilan : c'est à dire que aucune feuille autorisée ne sera d'une très grande aide. Ma calculatrice me donne un très léger avantage pour boucler cette partie, avec une probalité de réussite plus importante qu'au début. S'en suit un dernier exercice de bugdets. Malgré beaucoup d'hésitations, je clos ce partiel pile-poil dans les temps, avec une incertitude que je n'ai pas pour l'algorythmique. Mais ma confiance n'est toujours pas ébranlée, et ma semaine de vacances en mai peut encore être une hypothèse valable.
Les permissions accordés chaque après-midi suivant une matinée de partiels sont les bienvenues. Du coup, cet après-midi, j'ai pu gérer deux-trois bricoles en rapport avec le stage à trouver. Et puis bon, cette fois, on ne tente pas le diable, on révise un chouillas. Demain c'est C++ (de la programmation) et Communication écrite. Le C++ on en a bouffé et rebouffé, alors, sauf partiels de porc, ca va rulez comme dirait un certain pote à moi. En plus, on a droit aux documents. Je me suis fait un ptit sommaire pour savoir où chercher. Bah oui, c'est pas la première fois que je me pointe à un DS avec des documents et que je tourne les 100, voire 200 pages du cours comme un poliopathe qui fait une crise, pour trouver la ligne qui va m'aider. Cette fois-ci, j'anticipe !
Après le deuxième partiel, la communication écrite, ça reste un nébuleuse lointaine : savoir rédiger, c'est bien joli, mais vu le peu de cours qu'on a eu, et surtout l'inconnu total des sujets possibles (depuis l'invention du papier toilette à la vie d'Hector Poivraud), on verra bien ce que ça donne. Première éraflure dans ma motivation sans faille : comment dire que l'on va réussir quand on a pas la moindre idée de la note possible ? Comme ça : "Je vais réussir" ! Faut pas partir en partiel la corde au cou, au moindre accroc, la corde se tend.
Bon du coup, on verra ça demain, de toute façon, j'ai mon BZ alors je m'en tamponne !
Lundi 22 Janvier.
Ce matin, nous avons débuté les partiels, chacun avec une confiance qui allait de "je vais me pendre, la vie c'est de la merde" à "vive la compta, je vais tout déchirer !" (ça, c'est moi, je vis dans un rêve c'est pour ça...).
Premier adversaire : l'algorythmique. Trois exercices, quelques accrocs sur la compréhension, mais finalement la simplicité annoncé par le prof n'est pas très loin, et le régiment passe cette première épreuve requinqué par la confiance d'une probable réussite.
Second adversaire : la fameuse G.E.F, appellée aussi "compta de merde". A la réception des copies, je tire un peu la gueule : mon plan machiavélique pour pourrir la tronche à ce partiel tombe à l'eau : pas de compte de résultat, pas de bilan... Finalement, il s'agira d'un mano à mano serré. J'attaque la bête par un QCM, maquillée par un nom synonyme de simplicité, mais redoutable. Quelques formules pourront m'aider, mais la victoire reste très indécise. Le deuxième exercice est un bilan fonctionnel, c'est traître parce que ça a le nom d'un bilan, la forme d'un bilan, le goût d'un bilan, mais c'est pas un bilan : c'est à dire que aucune feuille autorisée ne sera d'une très grande aide. Ma calculatrice me donne un très léger avantage pour boucler cette partie, avec une probalité de réussite plus importante qu'au début. S'en suit un dernier exercice de bugdets. Malgré beaucoup d'hésitations, je clos ce partiel pile-poil dans les temps, avec une incertitude que je n'ai pas pour l'algorythmique. Mais ma confiance n'est toujours pas ébranlée, et ma semaine de vacances en mai peut encore être une hypothèse valable.
Les permissions accordés chaque après-midi suivant une matinée de partiels sont les bienvenues. Du coup, cet après-midi, j'ai pu gérer deux-trois bricoles en rapport avec le stage à trouver. Et puis bon, cette fois, on ne tente pas le diable, on révise un chouillas. Demain c'est C++ (de la programmation) et Communication écrite. Le C++ on en a bouffé et rebouffé, alors, sauf partiels de porc, ca va rulez comme dirait un certain pote à moi. En plus, on a droit aux documents. Je me suis fait un ptit sommaire pour savoir où chercher. Bah oui, c'est pas la première fois que je me pointe à un DS avec des documents et que je tourne les 100, voire 200 pages du cours comme un poliopathe qui fait une crise, pour trouver la ligne qui va m'aider. Cette fois-ci, j'anticipe !
Après le deuxième partiel, la communication écrite, ça reste un nébuleuse lointaine : savoir rédiger, c'est bien joli, mais vu le peu de cours qu'on a eu, et surtout l'inconnu total des sujets possibles (depuis l'invention du papier toilette à la vie d'Hector Poivraud), on verra bien ce que ça donne. Première éraflure dans ma motivation sans faille : comment dire que l'on va réussir quand on a pas la moindre idée de la note possible ? Comme ça : "Je vais réussir" ! Faut pas partir en partiel la corde au cou, au moindre accroc, la corde se tend.
Bon du coup, on verra ça demain, de toute façon, j'ai mon BZ alors je m'en tamponne !